Précisons d’emblée que les autorités ne peuvent légalement imposer aucune mesure sanitaire particulière, considérant le fait que la rhinopneumonie n’est pas une maladie qui doit faire l’objet d’une déclaration officielle de la part des éleveurs et/ou détenteurs de chevaux.
Des contacts que nous avons eus avec le responsable du Centre, nous pouvons assurer à tous les propriétaires de chevaux que tout est sous contrôle et qu’il n’y a pas lieu de céder à la panique.
En effet, premièrement, la « rhino » se propage principalement par contact direct entre les chevaux et le virus ne peut se propager que de quelques mètres dans l’air.
Deuxièmement, dès les premiers symptômes, ce virus équin (non transmissible à l’humain) a été directement suivi des mesures adaptées au sein du centre équestre.
L’exploitant, avec la coopération des vétérinaires de la Clinique de l’Université de Liège et de l’AFSCA, a respecté scrupuleusement les mesures sanitaires requises et a pris, avec beaucoup de sérieux, toutes ses responsabilités (mises en quarantaine, arrêt de toutes les allées et venues de chevaux, respect strict des normes d’hygiène, limitation de l’accès aux installations, obligations vis-à-vis des propriétaires, désinfection minutieuse de l’environnement, surveillance continuelle des chevaux, etc.).
À l’heure où nous écrivons ces lignes, ce centre équestre nous informe arriver prochainement au terme de la quarantaine et se diriger « vers la porte de sortie » de cette situation.
Pour toute information complémentaire :
- Vidéo réalisée par la clinique vétérinaire de l’université de Liège – section équine et gros animaux
- Site internet de la Ligue Équestre Wallonie Bruxelles
Service Environnement – nathalie.jasienski@marchin.be – 085 270 426